Le Xinjiang, un développement économique sans précédent

par Christine Bierre, le 13 septembre 2023

De retour d'un voyage-étude dans la Région autonome ouïghoure du Xinjiang, du 18 au 22 août, en compagnie de Maxime Vivas, écrivain et auteur du livre « Ouighours, pour en finir avec les fake news », traduit en 13 langues, d’Ayméric Monville, Directeur des Editions Delga, et de Jean Pegouret, expert en géopolitique, à la recherche de la vérité sur cette région qui a fait couler beaucoup d’encre ces dernières années. C’était mon deuxième voyage au Xinjiang (j’y étais déjà allée en 2019), ce qui m’a permis de voir les choses avec un certain recul.

Pékin veut que la situation revienne à la normale au Xinjiang

par Thomas Heberer et Helwig Schmidt-Glintzer pour "Arrêt sur info", le 13 septembre 2023

Nous avons le plaisir de partager aujourd’hui avec vous, chers lecteurs et amis, un compte rendu très honnête sur la situation réelle au Xinjiang, rédigé par deux sinologues allemands réputés, Thomas Heberer et Helwig Schmidt-Glintzer. Thomas Heberer est professeur senior de politique et de société chinoise à l’université de Duisburg-Essen. Helwig Schmidt-Glintzer est professeur de sinologie et directeur du China Centrum de Tübingen.

Retour sur un Institut militaire français et ses dangereuses divagations anti-patriotiques

par Aymeric Monville, pour "Le Grand soir", le 2 septembre 2023

De retour du Xinjiang, je relis le volumineux rapport antichinois de 654 pages qu’avait diffusé, il y a deux ans, l’Institut de recherche stratégique de l’école militaire (IRSEM). Fort de cinquante autoproclamés chercheurs et comptant un relais de l’OTAN, officier supérieur de l’armée des États-Unis, l’institut parrainait ce pavé censé alerter sur les « machiavéliennes » opérations de la Chine et sur ses complices français dénoncés selon la méthode de McCarthy.

Choses lues en France et choses vues au Xinjiang en août 2023

par Maxime VIVAS pour "Le Grand soir", le 29 août 2023

J’étais donc au Xinjiang du 16 au 23 août 2023 avec Aymeric Monville et d’autres curieux, adeptes de Saint-Thomas (et non pas de Saint-Média) pour voir (revoir) de mes yeux ce que les Chinois disent être la réalité et dont leurs ennemis nient l’existence. C’était mon troisième voyage dans cette région chinoise aux huit frontières, dont l’une, de 76 kilomètres, avec l’Afghanistan.

Visite au Xinjiang, les réalisations démentent la propagande américaine

par Sara Flounders pour "Workers world", le 9 juin 2023

La propagande américaine est puissante. En réponse à l'augmentation des attaques américaines contre la Chine, une délégation a été organisée par le Réseau de solidarité Chine/États-Unis, qui s'est rendue au Xinjiang en Chine du 11 au 31 mai.

Decombel Danny Camiel, un entrepreneur belge pionnier dans l’agriculture au Xinjiang

par Liu Ting, pour La Chine au présent, le 29 juillet 2022

« C’était une bonne décision de créer une entreprise dans le Xinjiang. Je pense qu’aucun autre endroit que le Xinjiang n’aurait pu me donner une telle opportunité », se félicite Decombel Danny Camiel, un Belge de 59 ans qui dirige une entreprise d’engrais dans le nord-ouest de la Chine. Pour lui, le Xinjiang n’est pas seulement un lieu précieux où il a lancé sa carrière, mais également son second pays natal.

 Une visite « non supervisée » et « ouverte » au Xinjiang pour la Commissaire aux Droits de l’homme de l’ONU

par la rédaction de Global Times, le 29 mai 2022

En soulignant que son voyage n’est pas une enquête, la Chef des droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet, a terminé sa visite de six jours en Chine et dans sa région du Xinjiang par une déclaration samedi soir et a déclaré que sa mission avait eu des discussions larges et ouvertes avec des personnes de différents secteurs de la région, y compris des prisonniers et d’anciens stagiaires de centres d’enseignement et de formation professionnels et que toutes ces réunions avaient été organisées par sa délégation.

Calunnia del Arte

 

par André Lacroix, le 21 février 2022

Le 8 février 2022, Arte diffusait un « documentaire » de 105 minutes intitulé Le drame ouïghour (1). Ce n’était pas son coup d’essai (2). À plusieurs reprises déjà, j’ai eu, avec d’autres, l’occasion de dénoncer ses partis pris antichinois (3). Tout se passe comme si, dès qu’il est question de certains sujets comme la Chine, la prestigieuse chaîne francoallemande perdait tout sens critique. Arrêtons-nous un moment sur « le drame ouïghour » vu par Arte.

Interview de Wu Qiner, historien à l'Academia Sinica de Taiwan, par Wang Yu, journaliste de Shenzhen TV & Direct News, le 10 février 2022

Interview de Wu Qiner, historien à l'Academia Sinica de Taiwan, par Wang Yu, journaliste de Shenzhen TV & Direct News, le 10 février 2022

Une propagande de guerre contre la Chine orchestrée par les États-Unis

par Élisabeth Martens, le 24 janvier 2022

Le 21 janvier 2022, « un collectif de membres du Parlement européen et de divers Parlements nationaux » publie une Carte blanche dans le quotidien belge "Le Soir"1. Il s'agit d'une attaque en règle contre la Chine, comme il y en a quasi tous les jours dans les médias. Cette fois, ce sont les Jeux Olympiques d'hiver organisés à Pékin à partir du 4 février qui sont visés par les « pays démocratiques ».

Le Xinjiang, un «immense pénitencier»? Évangile et propagande

par Paul Lavoie pour Mondialisation.ca, le 28 avril 2021

Les Canadiens Gary et Andrea Dyck ont ​​passé une décennie au Xinjiang, en Chine, a-t-on pu apprendre par les journaux du 26 avril 2021. La nouvelle semble avoir fait le tour du monde. « Nous avions l’impression de vivre dans un immense pénitencier », a dit ce couple canadien qui avait passé 18 ans en Asie.

Ouïghours : un pavé (made in USA) dans la mare

par Gaston Monatte, le 22 avril 2021

commentaire sur l'article "Les accusations de génocide dans le Xinjiang sont injustifiées" par Jeffrey Sachs et Willian Schabas, deux bonzes du néolibéralisme, à lire en bas de page.

Propagande occidentale à propos de "génocides" en Chine

par la rédaction de tibetdoc.org, le 17 avril 2021

Depuis plus de trente ans, l'équipe de "tibetdoc" voyage en contrées tibétaines ; depuis plus de quinze ans, elle suit de près la situation des six millions de Tibétains vivant en Chine. Une conclusion s'impose : le quotidien des Tibétains s'est amélioré de manière significative depuis l'exil du dalaï-lama il y a 60 ans. Un seul chiffre suffit à le démontrer : l'espérance de vie a doublé, passant de 35,5 ans en 1959 à 70,5 ans en 2019. Cependant les médias occidentaux n'ont cessé de critiquer la Chine sur sa "colonisation" du Tibet, l'accusant de génocide ethnique et culturel. Nos médias puisaient leurs sources principalement dans les infos divulguées par l'ICT1, une ONG subsidiée par l'État américain via le NED2, dans le cadre de la Guerre froide.

Unanimité à Ottawa sur le « génocide ouïghour » : véritable débat ou consentement fabriqué ?

par Paul Lavoie, le 13 avril 2021

Dans l’ouvrage Les Décisions absurdes 2 (Gallimard, 2012) qui a été populaire dans le milieu des affaires lors de sa parution, le sociologue français Christian Morel dit beaucoup de mal de l’unanimité qui est souvent considérée comme la meilleure façon de conclure un débat. Pour s’expliquer, il se réfère à une règle de droit en vigueur chez les Israélites de l’Antiquité. « Si les vingt-trois juges du tribunal du Sanhédrin prononcent une condamnation à mort à l’unanimité, cela entraîne automatiquement l’acquittement de l’accusé, et celui-ci n’est pas rejugé. »  Même si elle semble aller à l’encontre du bon sens, cette règle est pour Morel bien fondée. Comme rien n’est jamais parfaitement noir ou blanc, l’unanimité est relativement impossible dès que plusieurs personnes délibèrent de manière studieuse, car elles ne peuvent pas toutes regarder un même objet le moindrement complexe de la même manière et envisager les mêmes facteurs avec une égale importance. Ainsi, si un jugement est unanime, on peut soupçonner qu’il est irréfléchi, qu’il a été rendu en l’absence d’une réelle délibération, d’une réelle confrontation des idées. L’unanimité « est le signe qu’il n’y a pas eu de véritable débat. La décision qui en résulte est à ce point suspecte qu’elle doit être sanctionnée par l’acquittement du coupable ».

« Ouïghours, victimes et otages » … du brouillard diplomatique

par André Lacroix, le 12 avril 2021

Dans Le Monde diplomatique d’avril 2021, on peut trouver un article intitulé « Ouïgours, victimes et otages » (1), signé par Martine Bulard, Rédactrice en chef. En décembre 2019, elle nous avait déjà gratifiés d’un article mi-figue mi-raisin sur le Tibet (2). La voilà qui « remet ça », cette fois à propos du Xinjiang. Rien que le titre pose question ; il y manque à tout le moins un point d’interrogation.

Sabine Trebinjac et les Ouïghours : un réquisitoire antichinois sous vernis scientifique

par André Lacroix, le 23 mars 2021

« Plutôt que de relayer des propagandistes de bas niveau, dont la seule préoccupation est de blanchir le régime de Xi Jinping, puis-je vous suggérer l’article ci-joint (1), écrit par une scientifique vraiment informée et d’essayer d’y répondre au niveau des faits » : voilà ce que m’écrivait un professeur de l’ULB (Université Libre de Bruxelles) en réaction à ma lettre ouverte (2).

L’article en question est fort de 15 pages ; il est intitulé Chine et Ouïgours. Un colonialisme interne civilicide ; il est publié par les éditions de l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales) ; son autrice, Sabine Trebinjac est chercheuse au CNRS et chargée de cours à l’Université Nanterre - Paris X. 

Le lobby ouïghour

par Paul Lavoie© pour Mondialisation.ca, le 22 mars 2021

Le texte qui suit est long et peut en décourager plusieurs. En le lisant, il apporte néanmoins la certitude, le tout dit sans trop de prétention, que tout ce dossier ouïghour, où on fait appel aux bons sentiments et demande à tous de s’indigner, n’est rien d’autre qu’une vaste entreprise de mystification. La Chine a peut-être ses défauts, mais ne mérite pas d’être diabolisée pour de viles raisons économiques. Après tout, les Chinois font aussi partie du genre humain.

Une re-lecture du « génocide des Ouïghours » au Xinjiang

par André Lacroix, le 18 mars 2021

« Le crime de génocide » dont serait victime la population ouïghoure du Xinjiang (Ouest de la Chine) est une accusation sans fondement. Ci-dessous de nombreuses études sérieuses le prouvent noir sur blanc. Ce qui, au contraire, est bien réel, c’est qu’il existe un large courant orchestré à Washington pour entretenir, par tous les moyens y compris les mensonges et le recours aux groupuscules d’extrême droite, un abcès de fixation sur les flancs de la Chine, menaçant l’hégémonie US.

Un rapport « indépendant » faisant état d'un génocide ouïghour vous est présenté par une université frauduleuse et des idéologues néoconservateurs qui font pression pour « punir » la Chine.

par Ajit Singh, le 17 mars 2021

Les médias américains ont salué un rapport du Newlines Institute accusant la Chine du génocide des Ouïghours comme étant une analyse indépendante « remarquable ». Un coup d'œil sous la surface révèle qu'il s'agit d'un outil de propagande pour le changement de régime, réalisé par des agents interventionnistes au sein d'une université frauduleuse.

La Chine commet-elle un génocide au Xinjiang ?

par Dan Cohen, pour MintPress news, le 14 mars 2021 (traduit de l’anglais à l’aide de DeepL.pro)

Les États-Unis et leurs alliés ont déclaré que la Chine était coupable de génocide à l'encontre des musulmans ouïgours. Dan Cohen, de Behind The Headlines, examine cette déclaration et les figures extrémistes qui la soutiennent. Il explique les motivations géopolitiques de cette campagne de propagande.